Le coaching d’affaire constitue une approche managériale qui domine le secteur des entreprises. Outil d’amélioration des facultés intellectuelles et personnelles, elle est étendue aux acteurs issus de diverses branches d’activité. Les problèmes de leadership, d’efficience organisationnelle, ou de faible production sont des causes déterminantes de l’appel fait au service du coaching.
Le coaching, une ligne directrice des approches managériales
Depuis une décennie, le coaching est une pratique largement vulgarisée dans le milieu des entreprises. Défini comme une stratégie d’accompagnement personnalisé visant à assister le travailleur dans l’exécution de ses tâches, la stimulation des motivations, ou la levée des obstacles professionnels, le coaching est devenu une ligne de conduite dominante des approches managériales. Il a acquis droit de cité, par suite de la conscience aiguë des relations entre les problèmes individuels et le rendement du travail, mais son essor remarquable est surtout dû à la sollicitation des chefs et des responsables d’entreprises qui ont remarqué que les soubresauts du monde économique mettent à l’épreuve leur capacité de gestion et d’anticipation.
Le coaching concerne toutes les branches d’activité
Le nombre des gérants de sociétés qui ont du mal à diriger et à soutenir ses troupes est en nette augmentation, et le sens du leadership est l’argument le plus évoqué lorsqu’ils sont interrogés sur les motifs du recours au coaching. Néanmoins, la démarche s’adresse à tous les acteurs à différents échelons de la hiérarchie. Il touche les hommes aussi bien que les femmes de tous les secteurs d’activité économique.
Les bienfaits du coaching sur les acteurs d’entreprises
Le coaching influe tout d’abord sur l’état d’esprit : il modifie les façons d’être, et façonne les modes de jugement et de perception dans un sens de rationalité économique.
Le coaching cherche à développer le savoir-être et les capabilités inédites des individus, en supprimant leurs freins intérieurs.
Le coaching soutient la capacité à prendre des risques et à se projeter vers l’avenir. L’environnement des entreprises est en constante mutation. Le dirigeant devra être en mesure d’interpréter les données environnementales et de repenser ses buts et ses stratégies d’actions, dans une optique d’adaptabilité professionnelle. Le coaching vise alors à forger un état d’esprit qui, à travers une gestion proactive de la situation, transforme l’acteur d’objet en sujet. L’individu se donne des ailes, en contournant habilement les contraintes exogènes. La liberté d’agir et d’entreprendre sera développée.
L’individu arrive à administrer ses stress, à triompher de ses craintes, de ses croyances négatives ou autres freins personnels. Il se mettra à bâtir un schéma de vision positive, et d’interprétation lucide et stimulante des réalités. Le coaching vise à développer l’audace et l’ouverture d’esprit, pour garantir la pertinence des choix et des décisions économiques.